Croiseur impérial : le vaisseau Star Wars de Dark Vador et de l’amiral Thrawn
Destroyer stellaire, vaisseau amiral, l’emblématique croiseur impérial connaît plusieurs appellations. Très présent dans les productions Star Wars avec Dark Vador ou encore le grand amiral Thrawn, le croiseur impérial a su marquer les esprits avec sa forme triangulaire iconique. Devenez incollable sur ce vaisseau !
L’Executor, le mastodonte vaisseau amiral de Dark Vador
L’Executor est un vaisseau Star Wars iconique. Il est le premier de la lignée des Super Star Destroyers et le vaisseau amiral personnel de Vador de l’Escadron de la Mort impérial. L’Executor est un croiseur impérial parmi les plus grands vaisseaux de la galaxie et avait la réputation d’être pratiquement invincible au combat.
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Description
L’Executor fait plus de deux fois la taille d’un destroyer stellaire standard de classe Victory. Ce croiseur impérial mesure environ 19 000 mètres de long et contient plus de 5 000 emplacements d’armes. Son armement est suffisamment puissant pour décimer les paysages planétaires en quelques heures, et détruire toute installation terrestre située dans sa ligne de mire.
C’est un petit pays volant, le Croiseur impérial Executor peut stocker des provisions pour plus de 300 000 personnes et peut tenir pendant plus de 6 ans de voyage. En terme de véhicules, Il peut accueillir des centaines de walkers impériaux, divers véhicules terrestres, 144 chasseurs de la série TIE (oui c’est précis !) et 200 autres vaisseaux de combat et de soutien.
L’équipage minimum nécessaire pour faire fonctionner ce croiseur imperial est d’environ 50 000 hommes, mais la plupart du temps le vaisseau est peuplé d’un personnel plus important. Ils sont répartis entre les différents pôles du vaisseau, il y a plus de 1 500 artilleurs, 10 000 droïdes et 38 000 troupes prêtes pour une attaque au sol dont la 501e Légion et la Blizzard Force.
Histoire
L’Executor était le vaisseau amiral qui a mené la victoire impériale lors de la bataille de Hoth, mais n’avait pas réussi à empêcher la fuite des dirigeants de la Rébellion et de Luke Skywalker. Après cela le commandement a été transféré au capitaine Firmus Piett, qui a poursuivi Luke Skywalker et le Faucon Millenium jusqu’à la Cité des Nuages de Bespin. Soldé par un échec, Dark Vador est ensuite retourné sur Coruscant à bord de son croiseur impérial, pour faire face au Prince Xizor du Soleil Noir. Peu après, le croiseur, ainsi qu’une partie de la flotte impériale, s’attaqua à la station Skyhook du Prince Xizor et mit fin à toute opposition du Soleil Noir.
Immédiatement après, l’énorme croiseur impérial a été chargé de protéger la construction de la deuxième étoile de la mort au-dessus de la planète Endor. Plus tard, pendant la fameuse bataille d’Endor, l’Executor a pris la tête d’une armada de Star Destroyers impériaux contre les forces rebelles qui attaquaient la seconde étoile de la mort. La stratégie de l’Empereur consistait à piéger la Rébellion entre la seconde Étoile de la Mort, de nouveau opérationnelle, et l’armada du croiseur impérial.
Pendant le combat, la Rébellion a concentré ses attaques sur le vaisseau amiral et a réussi à désactiver le bouclier déflecteur. Après qu’un chasseur A-Wing endommagé, soit entré en collision avec la passerelle de commandement du croiseur impérial, la navigation s’est arrêtée. Les dommages qui en résultèrent firent que l’Executor fut pris dans le champ gravitationnel de la seconde Étoile de la Mort et ainsi détruit lors de l’impact.
Classe Imperator 1, le croiseur impérial classique
S’il y a une chose dont on peut accuser les concepteurs de vaisseau Star Wars de l’Ancienne République, c’est de croire que « plus c’est gros, mieux c’est », bien qu’ils ne soient pas les seuls à avoir eu cette tendance dans la construction de leurs vaisseaux.
Dans les plus grands vaisseaux Star Wars, les chantiers navals de l’Ancienne République sont peut-être les plus connus pour leurs Star destroyer de classe impériale. Dépassant facilement la plupart des autres vaisseaux amiraux, cette version du puissant Star Destroyer est conçue pour l’intimidation autant que pour le combat. Doté de batteries de turbo lasers et de canons à ions, il existe peu de vaisseaux qui peuvent prétendre à la capacité de réussir un combat direct, en un contre un, avec un croiseur impérial de classe Imperator.
Utilisé à l’origine par les forces de l’Ancienne République lors de batailles à grande échelle pendant la Guerre des Clones, il a été par la suite largement utilisé par la flotte impériale dans des missions de ravitaillement et d’intimidation. La peur fait partie intégrante de la stratégie impériale pour maintenir les systèmes locaux dans le droit chemin. Elle est due en grande partie de la forme caractéristique d’un poignard déchirant le ciel nocturne quand cet énorme croiseur impérial est suspendu en orbite.
La forme Triangulaire iconique
Bien plus qu’une simple forme, c’est une décision soigneusement étudiée de la part des concepteurs du vaisseau. Les batteries d’armement sont disposées sur toute la longueur, ce qui permet d’obtenir de larges champs de tir et des salves dévastatrices dans le chaos des batailles. Bien que ce ne soit pas sans défaut, comme l’incapacité de viser directement vers l’avant, cette configuration excelle dans le milieu tridimensionnel et dans l’espace c’est un avantage de poids. Cela permet au croiseur impérial d’amener la quasi-totalité de son armement sur une seule cible en inclinant simplement son nez vers le bas pour donner aux batteries d’armes l’angle nécessaire pour les amener toutes dans leur position de tir optimale.
L’envergure de cette puissance de feu a toutefois posé un problème, car la grande majorité de cet attirail se présente sous la forme de batteries de canons lourds. Plusieurs fois au cours de son histoire de déploiement, le croiseur impérial Imperator 1 a été submergé par des essaims de chasseurs. Incapables de suivre efficacement ces cibles qui se déplacent rapidement, les canons lourds deviennent vite inutiles. De même, la partie arrière du croiseur impérial est relativement peu défendue, ce qui rend le vaisseau vulnérable aux attaques venant de l’arrière.
Le Chimaera du grand Amiral Thrawn
Œuvre d’art ou bâtiment de guerre ? Le Chimaera est un croiseur impérial de classe 1, un Imperator comme vu précédemment. Cependant celui-ci est particulier car il a été sous le commandement et modifié par le Grand Amiral Thrawn, un passionné d’art.
Le Chimaera est l’un des plus beaux et des plus infâmes vaisseaux de la flotte impériale. Il a joué un rôle dans certains des événements les plus importants de Star Wars. Mais au début de son service, il n’était rien de plus qu’un croiseur impérial standard.
Comme la plupart des Star Destroyers impériaux de classe I, le Chimaera a été fabriqué par Kuat Drive Yards. Il mesurait 1 600 mètres sur 900 mètres et était équipé de trois moteurs ioniques KDY Destroyer-I et de quatre autres Cygnus Spaceworks Gemon-4. Son réacteur d’ionisation solaire alimentait les diverses batteries de turbo lasers lourds et les canons à ions. À bien des égards, il s’agissait d’un modèle de ligne standard. À l’exception des modifications apportées par Thrawn.
Huit turbos lasers entouraient les tours de commandement contrairement aux traditionnels croiseurs impériaux. Le vaisseau amiral de Thrawn était également équipé de deux hangars, situés à chaque extrémité de la baie d’amarrage ventrale. Avec une grande porte pour couvrir la baie arrière, le vaisseau pouvait lancer sa flotte de chasseur TIE dans toutes les directions et par la même occasion se sécuriser.
La touche personnelle de Thrawn est peut-être la plus infâme de toutes. Sur le dessous du croiseur impérial se trouve une grande gravure de la créature qui donna le nom de Chimaera au vaisseau.
Pourquoi Chimaera ?
Thrawn a obtenu pour la première fois le symbole de la créature à trois têtes alors qu’il faisait partie d’une flotte expéditionnaire. Et à mesure qu’il gravissait les échelons, son emblème personnel faisait de même.
Le Chimaera a été placé sous le commandement de Thrawn peu après que l’officier Chiss ait été promu Commodore. Les batailles les plus marquantes du croiseur impérial à ses débuts ont été ses affrontements avec un groupe de rebelles dirigé par Nightswan. Thrawn et Nightswan se sont affrontés pendant des années, mais Thrawn a réussi à garder le dessus.
Ces premières victoires lui ont valu une réputation d’un professionnel de la ruse qui dépasse celle du commandant impérial typique. Sa réputation grandit, tout comme la notoriété de son croiseur impérial, le Chimaera. Les rebelles en vinrent à considérer la chimère stylisée comme un signe de la puissance de l’Empire.
Lorsque Thrawn atteignit le rang d’amiral, il fût rapidement appelé pour réprimer une rébellion à Batonn et sur l’île de Scrim. Il utilisa les canons à ions du Chimaera pour déclencher un tsunami et parvint enfin à vaincre Nightswan.
Thrawn et le Chimaera remportèrent victoire sur victoire, même contre les cellules rebelles les plus tenaces. Cependant, le croiseur impérial fut finalement perdu lorsqu’un troupeau de Purrgil, attiré par les transmissions d’Ezra Bridger, s’attacha au vaisseau et disparut dans l’hyperespace, emportant Thrawn et Bridger avec eux.
Pour l’instant ils ne sont toujours pas revenus, n’hésitez pas à revenir sur cet article qui sera mis à jour quand nous aurons plus d’information.
Un prototype peu connu, l’Interdictor
Le croiseur stellaire de classe Interdictor a été construit spécifiquement pour l’utilisation de générateurs empêchant les forces ennemies de s’échapper, mais aussi pour faire sortir les vaisseaux de l’hyperespace afin de mener des inspections surprises. Les quatre générateurs qui sortent de la coque couvrent un énorme rayon d’action, ce qui empêche les tactiques de type « hit and run ».
Bien qu’il soit doté d’un blindage et d’un bouclier relativement puissants, le croiseur impérial Interdictor est peu armé et a donc besoin du soutien d’autres vaisseaux capitaux en combat. Comme les autres destroyers stellaires, les générateurs de bouclier de l’Interdictor sont situés au sommet de la zone de commandement, une conception que certains remettent en question.
